Sujet: Kayla Moon ▬ I'm not like the others, and what ? [temrinée] Lun 22 Mar - 23:06 | |
| KAYLA MOON Tell me who you are • NOM : Moon. • PRÉNOM : Kayla. • AGE : 17 ans. • DATE DE NAISSANCE : 10 octobre. • SIGNE ASTROLOGIQUE : Les fées. • NATIONALITE : Anglaise, Londonienne. • GROUPE : Les humains. • SITUATION AMOUREUSE : Célibataire, qu’est-ce que l’amour au final ? • PENCHANT : J’aime me considérer comme quelqu’un de bien. • ORIENTATION SEXUELLE : Hétérosexuelle. • RAISON DE LA VENUE : J’ai commis un crime, enfin je crois, j’ai enlevé la vie de quelqu’un, d’un homme précisément. Le méritait-il au final ? Je ne sais plus… J’ai mal rien que d’y penser. Tell me how you are Personnalité Mon caractère, n’est-ce pas ? Il n’est pas si difficile de me détecter et de mettre les points sur les “i”. De toute manière, je ne vois pas pourquoi je cacherais qui je suis réellement envers les autres, à quoi bon ? J’imagine que je pourrais commencer à citer mes qualités. Tout d’abord, je suis un tantinet curieux, mais j’ignore en quoi c’est une qualité ? Serais-je curieuse d' apprendre de nouvelles choses ? Si c’est le cas, alors c’est tout à fait moi. Je suis une personne calme et ce dans n’importe quelle situation qui pourrait être gênante pour certains. Pourquoi s’énerver pour un rien ? C’est ce que je me dis à chaque fois. Je suis débrouillarde, voulez-vous une preuve ? Lorsque je suis arrivée à Damned Town, je me suis trouvée rapidement un boulot et paie pour mon logement. Je vis ma vie avec ce que je possède. Je suis ouverte d’esprit. Tu peux me dire ce que tu veux, je vais t’accepter tel que tu es, car je suis loin d’être la personne qui peut se permettre de juger. Pour conclure mes qualités, on pourrait dire que je suis indépendante, à défaut de dire que je n'ai besoin de personne pour avancer et bien… C’est la vérité. Je sais me débrouiller de mon côté sachant que ça sera fait correctement. C’est peut-être terrifiant pour les autres, mais bon… Ça fait de moi qui je suis aujourd’hui. Je n’ai pas honte de moi-même.
Passons au défauts désormais ! Le moment que vous attendez le plus, je le sens. Je sais citer mes qualités aisément, mais vous vous demandez si je serais capable de faire pareil pour mes défauts, n’est-ce pas ? Je vais vous dire que… vous avez raison ! Je suis une personne que l’on pourrait dire d'impatience ? Non, mais on va se le dire, d’accord ? Quand vous prenez dix ans à commander quelque chose d’aussi simple vous pouvez sentir le petit tapement de pied qui se fait entendre ou même envers les gens qui marche trop lentement et qu’il n’y a pas de place pour dépasser… Je déteste ! Je suis jalouse et je l’affirme à haute voix ! Je jalouse les gens qui ont tout dans la vie, mais ça ne m'empêche pas d’avancer, détrompez-vous… C’est juste que ces personnes chialent alors qu’ils ont de belles notes disons 90% et ils ne sont pas satisfait de leur note. Parfois j’ai envie de les secouer ardemment tout en leur criant dans leurs oreilles. J’arrive à peine à avoir 70% alors… Oui, je jalouse ce genre de personne. Renfermée c’est moi tout craché. Pourquoi ? Je ne m’ouvre pas aussi facilement aux autres, car je ne sais pas pour vous mais raconter ma vie à une personne que j’ai rencontré v’là 10 secondes, non merci. Je garde même quelques informations pour moi-même alors m’ouvrir à quelqu’un, c’est difficile. Je suis quelqu’un de solitaire, parfois ça peut être une bonne chose, car je fais tout toute seule sachant que ça sera bien fait, mais dans un sens je ne fais pas d’effort pour m’approcher des autres. De quoi j’ai peur ? Et bien de tout. J’ai peur de souffrir à nouveau. Sans oublier que je suis secrète. J’ai tout le temps mes petits secrets, c’est d’ailleurs mon patron au café qui me l’a fait remarquer. J’ai été étonnée, mais il est vrai que je ne m’ouvre pas aux autres, comme si je renfermait plusieurs secrets dans un livre. Il n’a peut-être pas tort après tout.
Quels sont mes peurs et mes phobies ? J’ai la peur irrationnelle de me noyer, je n’ai pas peur de l’eau en tant que tel, mais uniquement de la noyade. Je refuse les baignades en mer et en piscine. J'ai peur des hôpitaux, cliniques et centres de soin en général. Sans oublier le plus important, j’ai peur des hauteurs qui s'accompagnent souvent de vertiges. Oh aussi, je n’aime pas particulièrement les éclairs, quand j’en vois je cours rapidement vers l’intérieur pour me réfugier et couvrir mes oreilles.
Qu’est-ce que j’aime ? J’aime principalement le thé de toutes les saveurs, il y a une grande variété dans le café où je travaille actuellement à Damned Town. J’aime entre autres la nature, le paysage, les forêts, les animaux. Les plats végétariens, la musique, l’art. Qu’est-ce que je n’aime pas du coup ? Le sport, pleurer devant les autres, me montrer tout simplement faible, les gens qui ont tout ce qu’il faut pour réussir et gâchent leur talent. Je déteste aussi les gens qui tentent d’essayer de me comprendre, c’est bon, je comprends que je suis intrigante comme fille, mais sérieusement il n’y a rien d’intéressant, je vous assure. Je suis une adolescente comme les autres, ça dépend pourquoi en réalité.
Quels sont mes hobbies ? Je ne suis pas une grande artiste, mais je peins à mes heures perdues, je dessine également des croquis avant de le mettre sur une toile. La lecture de tout genre, donc du Shakespeare. Notamment ma pièce favorite est celle de Roméo & Juliette. Dormir est l’une de mes hobbies favoris ! Je cuisine des plats santés aux goûts végétariens, je suis une grande chef ! On peut faire plein de choses avec du tofu, croyez-moi, ça vaut le coup d’essayer. Physique • Taille : 5’1” • Poids : 54 kg • Cheveux : J’ai les cheveux roux qui ont atteint la longueur des épaules, parfois je me fais des queues de cheval. J’ai également une frange et deux mèches sur chaque côté de mon visage.
• Yeux : J’ai des grands yeux verts. • Apparence divine : // • Autres : Je n’ai tatouage, ni cicatrice, mais parfois lorsque j’ai des nuits blanches on peut voir des cernes sous mes yeux que je tente de couvrir à l’aide du cache-cerne, parfois ça ne fonctionne pas comme je le désire. Pour me décrire, je ne me vois pas comme une “belle” personne. Si je me comparais aux autres, je suis totalement différente d’eux. Que ça soit au niveau du visage ou même au niveau du physique,je ne me déclare pas comme la plus belle personne dans l’univers. Mais je ferais l’effort de me décrire du mieux que je le peux.
Ma peau est pâle comme la neige, est-elle froide au toucher ? Est-elle douce ? Bande de curieux ! Si vous voulez le savoir, tentez de toucher ma peau pour le découvrir. J’ai les cheveux rouges mi-long, enfin, ils arrivent jusqu’à mes épaules une frange couvrant l’entièreté de mon front. Mon visage est ovale, mon menton est légèrement pointu.Tes lèvres sont en forme d’arc peint parfois d’un gloss. J’ai des yeux foncés et verts telle une pierre précieuse, je porte rarement du maquillage sauf du cache-cerne sous mes yeux quand j’ai passé une nuit blanche pour aucune raison. Je suis différente des autres. Finalement mon nez, il n’est pas parfait, mais je l’apprécie tout de même, il est petit et légèrement retroussé.
Sur le plan physique, j’ai une petite silhouette, presque comme une planche de pain, bon,j’ai quand même des formes, hein. Je fais un bon 5 pieds 1. Je suis petite, mais tu n’es pas très complexée, fort heureusement. Malgré la forme de mon corps, j’ai une faible poitrine, mais elle est au moins existante malgré la couche de vêtement que je porte. À mon jeune âge, je n’ai ni tatouage, ni cicatrice, bon sauf ceux de mon chat que j’ai adopté dernièrement. Il est tout mignon tout plein ! Parfois il se montre très agressif.
Au niveau de mes vêtements, qu’est-ce que je porte généralement ? Mes vêtements varient, mais on me voit souvent avec un grand manteau à capuche vert, un gilet-pull rouge avec une chemise boutonnée blanche en dessous, une jupe vert foncé jusqu'aux genoux et des bottes marron lacées sous les genoux. Parfois c’est un pull rayé avec un short pour faire une sorte de style, mais qu’on se le dise, j’en ai pas de style vestimentaire. Je ne porte pas de vêtements pour plaire, car je ne veux que personne me remarque. Je veux être invisible aux yeux des autres. C’est loin d’être gagné à l’avance, car à cause de mes cheveux ainsi que de mes yeux, je ne passe pas inaperçu. Tell me what you've been Je suis née le 10 octobre à Londres dans un large appartement, assez grand pour mes parents et moi. Je suis fille unique, mes parents ne désiraient pas un second enfant. J’avoue que par moment je me sentais un peu seule, comme je l’ai toujours été cela dit. Comment mes parents se sont rencontrés ? Au lycée. Ils sont tombés follement amoureux l’un de l’autre. Le coup de foudre, d’après leurs dires et je peux les croire sur parole. Malgré leur amour commun, ils ont réussi leur vie. Ma mère est devenue agente immobilière et mon père est devenu médecin légiste. Oui, je sais ce que vous dites, mais travailler avec des morts était sa passion depuis qu’il était tout petit. Je ne lui ai jamais demandé pourquoi d’ailleurs, mais on ne questionne pas la passion de quelqu’un n’est-ce pas ? Il est chanceux, car j’ignore qu’est-ce qui n’anime dans la vie encore à ce jour. Peut-être qu’un jour je le découvrirai, il suffit juste que je creuse et que je trouve ma voie.
On ne peut pas dire qu’en grandissant je n’ai manqué de rien. Une vie parfaite ? Non, je ne dirais pas qu’elle l'était. Elle était presque parfaite. Pourquoi ? Car mes parents travaillaient souvent et ça faisait en sorte que je me retrouvais souvent toute seule lorsque je revenais de l’école. J’ai appris très jeune à me faire à manger, à faire la lessive, à faire le ménage, toutes les tâches quotidiennes qu’un adulte fait généralement. Je ne me plaignais pas. Tous les deux étaient trop occupés pour engager une nounou afin de me garder, donc je devais me garder toute seule. Voilà la raison pour laquelle je suis renfermée et solitaire aujourd’hui. Et à l’école… que dire honnêtement… Je n’avais pas beaucoup d’amis avec qui passer du temps. Aux yeux des autres élèves, j’étais la fille du docteur Frankenstein. J’étais victime d’intimidation. Est-ce qu’on me défendait ? Non, mais je me suis défendue comme je le pouvais en ne prêtant pas attention aux paroles lancées par quelques filles de ma classe. Un des rares soir où mes parents et moi partageons un repas, je pris l’initiative de leur en parler afin de trouver une solution à ce problème. Ça ne me blessait pas, mais ce n’était pas franchement agréable à vivre. Ma mère compatissait, mais elle n’a jamais rien fait pour me consoler. Par contre mon père a déposé une main sur mon épaule en répliquant :
«Tu sais ma petite Kayla, il faut que tu saches t’affirmer dans la vie et parfois il y a des combats qu’il vaut mieux abandonner, car ça n'en vaut pas la peine. Ils se moquent de toi ? Montre-leur que tu es plus mature qu’eux.»
C’est fou à quel point mon père, d’une certaine manière, avait raison quelque part. Les ignorer était la clé afin d’être tranquille. J’appliquais sa technique, mais ce n’était pas assez. Plus les jours avançaient, plus j'avais la sensation que la situation empirait. Ils m'ont intimidé et m’ont fait du mal. Quel genre de mal ? Certaines me poussaient contre les casiers, me faisaient trébucher et rient de moi aux éclats. Lorsqu’un jour, où c’était la goutte de trop, j'en ai eu assez. Assez de leur enfantillage, que je leur ai donné ce qu’ils méritaient. Un bon coup de poing en pleine figure à cette fille qui me martyrisait depuis le début. Mais qui s’est pris une suspension de trois jours ? Moi. Et les autres ? Rien. Injuste ? Certainement, mais ça m’a permis de rester à la maison et de terminer mes travaux tranquillement. Depuis ce jour-là, plus personne n'osait venir m’embêter. C’est drôle n’est-ce pas ? Je m’en fichais et je devenais transparente pour eux. Je donnais le meilleur de moi-même jusqu’au lycée. Cinq années à passer avant la pré-université. Je terminais haut la main la première, la seconde ainsi que la troisième, mais je n’ai jamais pu entamer la quatrième année. Pourquoi ? Car c’est là que tout s’est écroulé. Ce jour là où je ne serais plus la même.
Ma mère était à la maison ce jour-là et je revenais de l’école. La porte était entrouverte. Le cœur battant contre ma poitrine j’entrais dans la maison. Aujourd’hui je regrette de ne pas avoir composé le numéro de la police et d’être resté loin de l’appartement. Pourquoi je dis ça ? Vous verrez bien assez tôt. Donc… En entrant dans l'appartement, ma mère était à genoux les mains derrière la tête versant des larmes et derrière elle se trouvait un homme armé. Il portait un masque sorti d’un film d’horreur, je ne pourrais pas dire lequel. Ils étaient deux. L’autre avait posé le bout de son arme au niveau de mon crâne. À ce moment là je ne bougeais plus, je levais même mes mains en signe que je ne ferais rien de stupide. J’étais calme malgré la situation qui se présentait en face de moi. Je me rappellerais toujours de cette scène :
«Met-toi à genoux, petite.»
Je m'exécute rapidement sans la moindre parole. Les obéir était la clef pour survivre à ce malheur. Ma mère levait son regard pour me regarder murmurant qu’elle était désolée. Désolée de m’avoir embarquée là-dedans ? Va savoir. Mais mon cœur battait très fort contre ma poitrine, je ne cacherais pas que j’étais terrifiée, mais que sur mon visage rien ne paraissait, comme si j’étais avide de tout sentiment, que rien ne m'atteint. C’était tout le contraire.
«Bien.» L’homme me contourna pour se mettre en face de moi en pointant son arme à nouveau. «Peut-être que toi tu nous diras où se trouve l’argent de tes parents. Alors où est l’argent ? Je te promets que dès qu’on a l’argent, on partira comme si on avait jamais existé.»
Je restais silencieuse. L’homme s’était mis en face de moi exprès pour ne pas que je regarde ma mère. Si on leur donnait ce qu’ils souhaitaient, ils allaient partir et nous laisser tranquille. Était-ce si simple que ça ? Pourquoi je sentais la magouille derrière leur promesse faite à deux balles ? Je fermais les yeux en inspirant doucement, comme si je tentais de me concentrer sur les paroles que j’allais dire.
«Dans un coffre-fort qui se trouve dans la chambre de mes parents. Il est dans le garde-robe. Le code : 1010.»
Le jour et le mois de ma naissance. L’homme qui pointait son arme sur moi, se tournait vers son camarade comme s’il venait toucher le gros lot. Intérieurement j’espérais que le code n’avait pas changé, sinon on était fichu, ma mère et moi. L’homme qui braquait ma mère lui ordonna de ne pas bouger alors qu’il se dirigeait vers la chambre vers l’endroit où était le coffre fort. Parmi toutes les familles présentes dans l’immeuble, pourquoi nous ont-ils choisis ? Et même, pourquoi n’avaient-ils pas choisi une famille beaucoup plus riche que ça ? Tant de questions, sans réponse.Quelques minutes passèrent avant que son camarade reviennent avec le sac plein. Il n’avait pas tant d’argent que ça, mais quelques dollars et des objets de valeurs, oui.
«La petite n’a pas menti. Dis, on ne devrait pas l’emmener avec nous ? Elle fera une excellente partenaire de crime, pas vrai ? Ses cheveux et ses yeux… Ces rares de nos jours...»
Je voulais affichée un regard blasé, mais je n’en fis rien. Mon visage était neutre face à ces paroles.
«Tu n’as pas tort. Dis petite, ça te branche de venir avec nous ?»
«Non!» hurlait ma mère. «N’emmenez pas mon enfant ! Vous avez eu ce que vous voulez, mais pas ma fille.»
«Ce qu’elle est emmerdante !»
Un coup de feu. Je faisais des gros yeux. Ça faisait mal de voir cette scène, car je me sentais impuissante. Tout se passait au ralenti. Je regardais l’homme qui avait tiré sur ma mère. Ils avaient abattu ma mère sous mon regard innocent. Le monde s’était clairement arrêté, car tout ce que j’entendais était mon souffle.
"Merde ! Qu’est-ce qu’on fait de la petite ?" "Elle ne connaît pas nos visages, on se tire !"
Quoi ? Je ne comprenais pas, ils l’avaient tué pour rien. Tout ce qu’elle désirait faire était de me protéger. Celui qui possédait le sac commençait à sortir de l’appartement tandis que l’autre s'assurait que je ne bougeais pas. Mon regard s'ancre dans le sien. Puis une fois que son acolyte sortait, je poussais un hurlement de rage et je me ruais vers l’homme qui observait désormais ma mère. Je pleurais en même temps. J’étais éprise d’une colère inimaginable. Une pulsion, de la frustration, le désir de me venger, venger celle que je chérissais au plus profond de mon être. Je voyais rouge.
“Sale bâtard ! Tu crois pouvoir t’en sortir indemne ?!”
J’avais l’impression de ne pas me reconnaître. Je le forçais à lâcher son arme pour la pousser un peu plus loin dans la pièce. Je me laissais aller dans mes coups, comme une gamine en pleurnichant. Je lui retirais son masque par la même occasion, je ne le connaissais pas, heureusement. Je servais mes ongles comme une arme pour lui griffer le visage. J'usais de toute ma force que je possédais en cet instant même.
“Tu as tué ma mère ! Tu vas le payer, toi et ton pote.”
Pour lui, je ne pesais rien, car il réussi à me basculer. Il cherchait son arme pour en finir. Je me relevais rapidement accourant vers la cuisine pour y prendre un couteau. Je revenais vers lui tandis qu’il se penchait pour reprendre son arme. La lame se logeait dans son abdomen. Il affichait un visage surpris et moi également à vrai dire. Je venais de tuer un homme de mes propres mains. Je laissais le couteau, à la place je me reculais baissant mon regard vers mes mains. Il y avait du sang. Je tremblais. J’en avais des frissons, mais je n’avais pas froid. C’était effrayant à quel point c’était facile d’enlever une vie. Il mourrait à petit feu. Il souffrait. Il se vidait de son sang. Mon regard se tournait vers ma mère, qui était déjà morte. Je voulais la prendre dans mes bras, la bercer et lui dire que tout était fini, mais ça ne se passa pas ainsi.
Je sentie m’évanouir, comme si le rideaux de la pièce de théâtre se fermaient et qu’on avait terminé une scène d’un spectacle. Sauf qu’il n’y avait aucun applaudissement, ni public. Il n'y avait que moi, un des voleurs et ma mère qui était morte. J’avais commis un crime, mais n’était-ce pas une simple défense ? Je l’ignore et jamais je ne le saurais, car pour une raison qui m’est encore inconnue, je me retrouvais ailleurs. Dans la ville de Damned Town. Comment suis-je arrivée là ? Très bonne question, car même à ce jour je l’ignore. À mon réveil, mon corps était couvert d’une couverture rouge, j’étais allongée face à un bâtiment qui ressemblait à une mairie. J’étais complètement paumée ignorant quoi faire. Où était mon père ? Était-il toujours à Londres ? Et où que j’étais réellement ? Au paradis ? En enfer ? Étais-je toujours vivante ? Étais-je morte ? Mon corps était-il toujours à l’appartement ou étais-je vraiment ici ? Tant de questions sans réponse. Ça m’effraie pour être totalement honnête. Je cherche le chemin, mais est-ce qu’il y en a vraiment un ? Peut-on sortir d’ici ? Tout ce que je sais c’est que ma mère me manque beaucoup et que j’avais tué un homme.
Une chose dont j’étais sûr : Il fallait que je prenne les choses en main. Par où commencer ? Me trouver un endroit où me loger serait une bonne chose.. Ensuite il fallait que je trouve un travail surtout à mon âge il n’y a pas grand emploi offert. En ne cessant pas de chercher, je finis par me trouver un boulot dans un café. Le patron est gentil et très compréhensif. J’ignore toujours où je suis, j’espère qu’un jour j’aurais une réponse. Tell me everything TON PSEUDO ϟ Black Lotus. Ton âge ϟ 24 ans. Ton avatar ϟ Chise Hatori de Mahoutsukai no yome Comment tu es arrivé ici ϟ Par téléportation, quoi ? Ça n’existe pas ? Très bien, je connaissais déjà DT, un ancien membre pour être plus précis. Tes impressions ϟ Toujours aussi beau que dans mes souvenirs, j’adore ! Expérience RP ϟ Je dirais intermédiaire. Niveau d’exigence de validation souhaité ϟ Alors tout dépend de comment vous voulez juger ma fiche, je dirais entre les deux, est-ce possible ? Un dernier mot ϟ Licorne, chat et café ! *sort* Plus honnêtement, ça faisait un moment que je guettais DT alors me voilà. En espérant que ma petite Kayla saura vous satisfaire ~ Tu connais le code ? - Code:
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On dit que les cerises sont mauves ! FICHE PAR FALLEN SWALLOW éditée par Cyrielle |
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