[En travaux] Ariul Empyrean

Tell me who you are

               • NOM : Empyrean
               • PRÉNOM : Ariul
               • AGE : 108 ans (24 ans d'apparence)
               • DATE DE NAISSANCE : 23 juin 1912
               • SIGNE ASTROLOGIQUE : ici (voir horoscope)
               • NATIONALITE : Paradis
               • GROUPE : Ange
               • SITUATION AMOUREUSE : Null
               • PENCHANT : Bien
               • ORIENTATION SEXUELLE : ici
               • RAISON DE LA VENUE : Volontaire, pour prendre un peu de recul sur le paradis

Tell me how you are

De tempérament calme et réfléchi, Ariul a tendance à ne pas faire beaucoup parler de lui. Il préfère rester en retrait et observer, réfléchir à ce qui l’entoure pour mieux comprendre ce qu’il en retourne et ainsi mieux calibrer ses agissements. Jovial {j’ai un doute sur ça, je vais peut-être l’enlever}, il prend cependant volontiers part aux conversations auxquelles il est convié. Il se révèle aussi à l’écoute, bien qu’étant facilement distrait, il lui arrive de facilement décrocher des conversations, ce qui a l’habitude d’agacer ses interlocuteurs. Sa distraction le mène aussi souvent à passer d’un sujet à l’autre sans vraiment s’en rendre compte, ou même de dévier physiquement de la conversation. Un oiseau qui passe dans le ciel ? Ariul sera capable de ne plus écouter ses locuteurs pour se concentrer sur ce petit volatile. L’ange a donc des difficultés à se concentrer, qui proviennent des règles de la génétique qui régissent l’accouplement d’un ange avec un ange déchu {peut-être dévier vers un trouble de déficit de l’attention, mais recherches à faire}. Ariul se révèle franc dans ses idées et paroles, ce qui peut parfois blesser les gens qui l’entourent, mais cela n’est jamais l’intention première du jeune ange. Cela peut mener à des quiproquos ou des montées en tensions avec les personnes qui ne connaissent par Ariul, ce qui peut le rendre nerveux.

             • Taille : 183m
             • Poids : 74kg
             • Cheveux : Rouges, aux teintes rosées
             • Yeux : Bruns
             • Apparence divine : ici (si tu es un ange/démon)
             • Apparence : ici (facultatif)
             • Autres : ici

Que dire de cet ange qui a fait naître tant que de questions à ses amis et à son entourage au cours de sa vie, quant à ses traits pouvant faire penser à un démon : né d’une mère ange et d’un père démon déchu, Ariul a hérité des caractéristiques des deux. C’est ainsi qu’il se retrouve avec un visage fin et net, en forme de triangle pourrait-on dire. De même constance, son nez possède les même caractéristiques. Additionné à cela, la mâchoire fine d’Ariul porte des dents acérées qui peut provoquer chez ses interlocuteurs un sentiment de méfiance et d’angoisse. Mais pas de crainte, ce jeune homme est aussi inoffensif qu’un petit poussin à la sortie de l’œuf. D’un père aux cheveux rouges et d’une mère aux cheveux blancs, Ariul dispose de cheveux mi-longs rouges aux reflets rosés. Selon la lumière du jour et de son humeur, ses cheveux peuvent alors paraître plus ou moins clairs.

Sa carrure, grande et élancée peut faire penser à un sportif, et vous n’auriez pas tout à fait tort. Ayant vécu toute son enfance près de la mer, notre petit ange a passé une bonne partie de son temps à consommer son ATP sur le sable fin et clair des plages des terres éloignées et sur les douces eaux de l’Océan Azuria. Grandissant, il a rejoint une équipe de Basketball, sport dans lequel il fût totalement dévoué et qui sculpta ses muscles. La maladie le rattrapant, Ariul n’a malheureusement pu jouir du ballon pendant seulement deux petites années, mais continua d’entretenir son physique grâce à {insérer ici un symptôme de la maladie}.

Tell me what you've been

[/ !\ PREMIER JET, certaines parties de l’histoire ne sont pas encore totalement développées]
I. Mes parents
En balade dans le royaume des humains, autrement appelé la Terre, ma mère fit la rencontre d’un démon déchu. Ce démon, ayant fui pour quelques temps le monde de violence où il n’avait pas sa place, était à la recherche de nouvelles aventures plus légères. Après s’être adonnée au plaisir charnel avec cette ange, ma mère tomba enceinte de deux vrais jumeaux : Adoel, mon frère et Ariul, moi-même. Mon père, qui eut peur du devenir de son amante et de ses enfants, décida de laisser ma mère retourner au paradis pour terminer sa grossesse. C’est ainsi que mon frère et moi naquîmes au sein d’une petite ferme familiale des terres éloignées.

II. Mon enfance → rajouter maladies
Notre enfance fut plutôt classique, à aider notre famille dans les cultures tout en suivant l’éducation scolaire de base enseignée à tous les jeunes anges une fois l’âge requis atteint. Régulièrement, notre mère nous faisait passer par un portail pour nous emmener dans le monde des humains afin de voir notre père. Il fallait alors faire très attention à ne pas révéler notre sublime aux moldus, ce qui était difficile à comprendre pour deux jeunes enfants. Malgré notre tempérament sage, à mon frère et moi, et à suivre les règles, nous faillîmes à plusieurs reprises nous révéler au grand jour, d’autant plus que nos parents nous emmenaient au parc jouer avec des enfants humains. Mais cette expérience nous permis de comprendre l’importance de garder cacher cette partie de nous pour la stabilité de nos différentes terres. L’éducation que nous reçûmes des deux partis fût en général très enrichissante : d’un côté, une mère ange pure depuis des générations, vouée au système ange et à ses règles ; et d’un autre côté un père démon déchu, enfant lui-même de deux démons déchus, totalement contre le régime anarchique des enfers, régi par la loi du plus fort et politiquement engagé. Nos deux parents nous apprirent ainsi à aimer et protéger les gens nous entourant, à les respecter et à réfléchir par nous même sur le monde qui nous entoure.

Adoel étant mon frère jumeau, nous avons passés toute notre enfance, dès le premier souffle, ensemble. Nous étions alors très proches tous les deux, tout le temps à discuter, jouer, dormir, manger, travailler ensemble. Nous étions indissociables. Mais cela ne nous empêchait cependant pas de mener une vie sociale tout à fait louable, bien que nos connaissances étaient très souvent confondues. Nous avons aussi eu la chance de grandir sur un sol à la périphérie des terres éloignées, et donc à la limite de l’océan. En complément de l’aide de nous apportions à notre famille sur les terres agricoles, nous avons ainsi pu jouir des plaisirs de l’océan, que ce soit à la plage ou sur les flots. En effet, nous avons eu la chance d’apprendre la navigation sur voilier, ce qui nous a permis pendant notre jeunesse de nous évader l’espace de quelques heures par ci par là. Malgré le statut paysan de la famille Empyrean, et les pauvres revenus qui en découlent, je peux dire que nous avons eu une enfance très enrichissante remplie de bons moments. Le seul regret concernant mon enfance est de ne pas avoir pu partager tous les bons moments passés au paradis avec notre père, qui ne pouvait bien entendu pas venir sur les terres des anges.

III. Le drame
C’est lors de mon adolescence que tout a faillit bousculer (on dirait un mauvais reportage, à reformuler). À la suite d’une mauvaise saison de récoltes, dont dépend tout le monde des anges, une famine majeure s’installa sur tout le territoire. Dans ce genre de situation, les ressources sont acheminées en priorité dans la cité impériale et dans l’armée. Malgré tout le travail déployé par notre famille sur nos terres, l’apport de nutriments était mineur et trop insuffisant pour des adolescents en pleine croissance, provocant des carences. Nos affections génétiques respectives additionnées à ces carences nous firent tomber gravement malade lors de cette sombre période. Nous avons cependant eu la chance d’être au sein d’une famille très soudée et aimante, ce qui nous a permis d’avoir un soutien accru et des soins rudimentaires mais très présents. Les phases de maladies étaient entrecoupées de phases où notre état de santé s’améliorait, nous permettant de vivre un semblant d’adolescence par intermittences. J’insiste bien sur un « semblant » d’adolescence, qui en réalité se résumait à essayer de reprendre des forces tant bien que mal avec le peu de nourriture qui nous était disponible. Quand enfin nous arrivions à sortir de notre chambre et prendre l’air dehors, les activités n’était pas de tout repos. Malgré le risque constant de retomber dans la maladie, et de se retrouver encore une fois à végéter dans nos lits, notre devoir était d’aider notre famille dans les champs et ainsi augmenter autant que possible les récoltes pour subvenir un minimum à nos besoins. Les conditions climatiques alors présentes, et ayant menées à cet épisode de famine, n’étaient certainement d’aucune aide au repos de tous nos membres endoloris par le travail, et à nos rechutes dans la maladie.

Cette malédiction dura pendant 1 ans, 365 jours pendant lesquels notre vie se résuma à survivre, tant bien que mal, au malheur qui s’abattait sur les populations rurales des terres éloignées de notre monde. Après cette année de dur labeur, il nous fallut encore quelques mois, à Adoel et moi-même, pour reprendre du poil de la bête, comme le stipule l’expression, et pouvoir reprendre une vie normale. Cet épisode ne nous laissa bien sûr non sans séquelles, et c’est à partir de ce moment que nos chemins se séparèrent, tant psychiquement, dans notre manière de penser à notre devenir, que physiquement. Bien que notre défaut de concentration nous menait bien souvent à prendre des décisions et agir par impulsivité plutôt que par réflexion, Adoel avait toujours un aspect de sang chaud dans ses réactions, très certainement hérité de notre père. Ainsi, après avoir repris des forces, et après avoir eu le temps de ruminer toute sa rage et sa rancœur dans son coin, il prit son bateau et naviguât jusqu’à la Cité Impériale afin de lâcher sa haine. Je ne sais cependant pas ce qui est finalement réellement arrivé, puisque je n’ai plus vraiment eu de nouvelles depuis. De mon côté, j’ai choisi un autre chemin pour essayer de faire changer les choses, bien que je n’étais que personne. Mais comme dit l’adage, qui ne tente rien n’a rien !

IV. Le recours
N’ayant aucune possibilité d’avoir une influence quelconque sur les hauts dignitaires du paradis, je me suis présenté auprès du représentant local de ma circonscription. L’homme était très aimable, et m’a accueilli les bras ouverts autour d’une belle bouteille d’un liquide ambré au ferme goût sucré de miel. Tout ouïe de mes arguments, nous passâmes plusieurs heures à nous entretenir sur les conditions de vie des terres éloignées pendant la péripétie de disette exceptionnelle vécue plusieurs mois auparavant. A la fin de notre conciliabule, le représentant de notre circonscription me promis de faire remonter le plus rapidement possible la retranscription de mes paroles. Plusieurs mois passèrent et je n’avais toujours pas de nouvelles. Pourtant, plusieurs retours d’autres familles allant dans le même sens étaient aussi remontés au représentant local. Est-ce que mon exposé n’était pas arrivé à destination ou traité suite au comportement de mon frère ? Est-ce que le représentant local n’avait pas fait son travail ? Est-ce pour une autre raison ? Je pense que je n’aurais malheureusement jamais la réponse. Mais à la suite de la non-réaction observée, j’ai essayé à mon tour, quelques années après, d’envoyer une candidature pour prendre la place de représentant local lors de la nomination du prochain. Candidature qui est restée sans réponse. Après plusieurs années d’attente pour une réponse, qu’elle soit négative ou positive, à la cause pour laquelle j’essayer de combattre, j’ai commencé à baisser les bras. C’est alors que pendant d’une discussion avec mes parents, j’ai appris la connaissance d’une ville extérieure à tout monde, rassemblant des humains, anges, démons et déchus. Mes yeux s’illuminèrent alors, elle était là ma solution ! M’éloigner quelques temps des terres qui m’ont vues grandir, souffrir, me révolter, pour prendre du recul sur la situation.

Tell me everything